vendredi 11 juin 2010

nouvelles de notre 2e semaine

Pendant que j'étais distraite au téléphone, Mémé et Jonathan ont exploré tout ce qui se trouve dans ma chambre, ils ont essayé mes lunettes soleil, écrit dans mon cahier, bu dans ma gourde, changer l'heure de mon cadran, jouer avec ma lampe frontale. (ils étaient mignons a voir.) Ici il fait tres chaud, on boit des quantités incroyables d'eau. Et il y a quelques jours nous voulions nous acheter d'autres bouteilles. Alors a 5 filles, on est allé explorer le marché de san carriare. C était notre premier excursion car tout le monde nous prend en charge, je n ai jamais marché seule. Notre accompagnatrice, véro, nous avait dit que l'eau glacé valait 400 cfa. Nous avons du faire trois endroits assez éloigner, marché pres d un km pour finalement accepter d acheter des bouteilles a 500 cfa. Car ici tout le monde nous dit de marchander et on n'est pas encore tres bon, ce qui n est pas évident de faire quand tu ne connais pas la valeur des choses. J ai tout de meme réussi a faire baisser le prix de mon taxi une premiere fois de 200 cfa et ensuite d un autre 300 cfa. Tu sais que les chauffeurs de taxis acceptent finalement ton prix lorsqu'ils se taisent. La famille dans laquelle je vis m'a donné les coordonnées du taximan alors je peux l'appeller lorsque j'ai besoin de me déplacer. Sauf que j'ai toujours de la difficulté a le reconnaitre alors je dévisage tous les chauffeurs de taxis et ils y en a d autres qui arretent et je dois les faire repartir quand je vois que ce n est pas le chauffeur que j attendais. En plus, ici il n'y a pas d'adresse alors ce n 'est pas facile de trouver les choses. Par exemple, lorsque je dois rentrer chez moi, je dis: c'est le quartier Cissin, tourner a droite apres la station pétrofa, prendre la rue du lycée ridwane, tourner à droite à la fin du goudron et à gauche au 2e six mètres en face de la clinique ste famille. Mon cellulaire est donc tres pratique car cette semaine, il na pas été évident de visiter différentes entreprises dans la ville, surtout que nous ne venions pas du bon sens de la ville pour les indications que j'avais.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire